



Kering teste le luxe par abonnement
L’annonce est passée inaperçue lors de la présentation des résultats du groupe mais a retenu l’attention du site FashionNetwork : François-Henri Pinault, le PDG du groupe, a lui-même indiqué que Kering testait actuellement un type de modèle de vente « par abonnement » dans le cadre d’un programme interne portant sur les stratégies de rupture. « Nous regardons les modèles de ‘souscription’, a déclaré le PDG de Kering. Je n’aime pas le mot ‘location’ car ce n’est pas exactement ça : il s’agit plutôt d’une sorte d’abonnement proposé sur certains types de produits. Cela existe aujourd’hui dans l’univers du mass-market. Cela n’existe pas dans un univers luxe. La question qui se pose, c’est ‘Est-ce qu’on peut amener ce modèle-là dans le luxe ? Et, si oui, qu’est-ce que cela veut dire ?’ Nous sommes en train de tester cela avec des partenariats extérieurs au groupe. »





BNP Paribas passe au "mobile first"
La banque vient d’annoncer, fin janvier, qu’elle allait intégrer l’ensemble de ses services au sein d’une unique application. Objectif : satisfaire une clientèle de plus en plus accro au mobile. Plus de 1,2 million de clients de BNP Paribas en France ne se connectent plus, en effet, que par smartphone à ses services en ligne. « Le client ‘mobile-only’ vient plus souvent, 15 fois par mois en moyenne, contre 12 fois pour le client web et mobile, et seulement 7 fois pour le ‘web-only’ », détaille Marc Campi, directeur marketing et digital de la banque de détail en France, cité par La Tribune. BNP Paribas a donc « pris la décision fondamentale de mettre toutes les fonctionnalités au sein d’une même application, qui a vocation à offrir la totalité des services bancaires ».

Lunchr dématérialise le titre-restaurant et optimise l’expérience du déjeuner
Fondée il y a un an, la startup Lunchr avait initialement eu l’idée de faciliter la prise de commandes pour le déjeuner à travers une appli et un réseau de 500 restaurants partenaires à Paris. Succès aidant, Lunchr entend désormais révolutionner la vénérable institution du titre-restaurant, vieux d’un demi-siècle et utilisé en France par 4 millions de salariés. Tous ont un jour vécu, écrit Patrice Bernard sur son blog « C’est pas mon idée ! », « les frustrations de l’acceptation incertaine dans les points de vente, du rendu de monnaie interdit… Avec Lunchr, ces petites irritations du quotidien seront oubliées. »

